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MINISTERE DE L'AGRICULTURE ET DE LA PECHE
DIRECTION GENERALE DES POLITIQUES
|
DIRECTION DES AFFAIRES FINANCIERES
ET DE LA LOGISTIQUE |
CIRCULAIRE |
Date de mise en application :
immédiate |
Le Ministre de
l'agriculture et de la pêche |
Objet : Soutien aux caves
coopératives viticoles en situation financière difficile
: mise en place de prêts de consolidation
Résumé : La présente circulaire précise
le contenu de la mesure prévue, dans le cadre du plan
annoncé en faveur de la filière viticole par le ministre
de l'agriculture et de la pêche pour les caves
coopératives viticoles les plus fragilisées du fait de la
mévente des vins.
Mots-clés : Viticulture, prêts de consolidation,
caves coopératives viticoles.
DESTINATAIRES |
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Pour exécution : |
Pour information : |
Afin de venir en aide aux caves
coopératives viticoles, ou à leurs unions,
confrontées à des problèmes d'écoulement de
leur production, le ministre de l'agriculture et de la pêche a
décidé la mise en place d'une enveloppe de 10 M€,
pour la réalisation de prêts de consolidation des
échéances en capital de l'année civile 2006 de leurs
prêts professionnels à moyen et long termes, au taux de
1,5%, d'une durée maximale de 5 ans assortie d'un
différé total d'amortissement (intérêts et
capital) de 3 ans maximum. Ce dispositif s'adresse aux structures
qui sont substantiellement affectées par la mévente des
vins.
La présente circulaire a pour objet de préciser les
conditions de mise en œuvre de cette mesure.
1. Sélection des bénéficiaires : conditions générales d'accès à la mesure
La mesure est destinée aux caves coopératives viticoles ou leurs unions, spécialisées en vins, fragilisées mais viables répondant à l'ensemble des critères définis ci-dessous.
1.1 Baisse significative du dernier chiffre d'affaires connu
Les caves coopératives doivent
avoir enregistré une baisse de 20 % minimum du dernier
chiffre d'affaires connu par rapport à un chiffre d'affaire de
référence.
Le chiffre d'affaires de
référence (en valeur brute ou par hectare en production)
est le chiffre d'affaires viticole des années 2004 ou 2005 ou
leur moyenne. En cas de sinistre reconnu comme calamités
agricoles sur ces années, les années 2002 ou 2003
pourront être retenues. Le chiffre d'affaires affecté par
la crise est celui relatif à une période consécutive
de 12 mois comprise entre le 1er janvier 2005 et une
date pouvant aller jusqu'au 31 juillet 2006, c'est-à-dire
jusqu'à la fin de la campagne viticole 2005-2006. La baisse de
chiffre d'affaires sera appréciée par comparaison de deux
périodes identiques de 12 mois.
Pour les producteurs de vins doux naturels du Roussillon, pour la
part de chiffre d'affaires constituée par les vins doux
naturels, on pourra retenir un chiffre d'affaires de
référence pouvant démarrer à partir de
l'année 2002.
Pour attester du chiffre d'affaires effectif sur chacune des
périodes retenues, les caves coopératives viticoles
fourniront une attestation certifiée par leur centre de
gestion agréé ou leur cabinet d'expertise
comptable.
Pour les caves coopératives viticoles ayant récemment
débuté une activité de vinification et ne disposant
pas de données antérieures justifiant leur chiffre
d'affaires, le taux de dépréciation sera
apprécié sur la base de la déclaration de
TVA.
1.2 Participation à la distillation de crise
Le dispositif est réservé aux caves coopératives viticoles ou à leurs unions, qui participeront à l'effort d'assainissement du marché en livrant à la distillation une partie de leur production (vins AOC, vins de table et vins de pays).
Le volume porté à la
distillation devra être au moins égal à 15% de la
dernière récolte, hors vins doux naturels. Une
attestation du directeur de VINIFLHOR précise, pour chaque
cave coopérative, son degré d'engagement dans les mesures
d'assainissement du marché via les distillations.
Cette quantité inclut la distillation faite au titre de
l'alcool de bouche (octobre 2005) et celle décidée au
titre de la crise 2006
1.3 Situation financière
Les caves coopératives viticoles doivent présenter une situation financière dégradée mais viable afin de pouvoir supporter un endettement complémentaire. L'analyse de la situation des caves coopératives viticoles est l'élément clé du dispositif. Les difficultés financières devront être mises en évidence par le comité technique visé au point 4.2. à partir des ratios financiers
2. Caractéristiques de la mesure
2.1 Caractéristiques financières du prêt de consolidation
Peuvent faire l'objet d'une
consolidation les échéances en capital de prêts
professionnels d'investissement à moyen et long termes,
c'est-à-dire d'une durée supérieure à 24 mois,
contractés avant le 31 décembre 2005.
Les caractéristiques de ce prêt de consolidation sont les
suivantes :
- Taux du prêt : 1,5 % ;
- Durée maximale : 5 ans ;
- Durée maximale du différé total
(intérêts et capital) : 3 ans ;
- Montant maximum du prêt : 90 000 € par cave
coopérative ou union ; si plusieurs prêts sont
accordés à une même cave coopérative ou union
pour consolider des annuités différentes (cas de
plusieurs établissements de crédit prêteurs par
exemple), la somme des prêts de consolidation ne pourra pas
dépasser 90 000 euros pour la cave coopérative ou union.
Pour les caves viticoles ayant récemment fusionné (depuis
le 1er juin 2005), à titre dérogatoire, le
montant maximum du prêt de consolidation est porté à
140 000 € si la taille de ces coopératives le
justifie.
Dans ces limites, le montant et les durées du prêt sont
fixées en tenant compte de la demande de la cave
coopérative et de sa situation financière, et de
l'enveloppe disponible pour le département.
Le prêt de consolidation est remboursé par
échéances constantes.
2.2 Assiette de la consolidation
Ne sont concernées par la
mesure que les échéances en capital normales, échues
entre le 1er janvier 2006 et le 31 décembre 2006.
Les échéances en capital antérieures au
1er janvier 2006, même non encore remboursées
à la date de la demande, ne relèvent pas de la
mesure.
► Capital pouvant faire l'objet du prêt de
consolidation : pour les prêts à
périodicité annuelle, le montant de capital pouvant faire
l'objet de la consolidation est égal à celui initialement
prévu dans le tableau d'amortissement du prêt. Dans le
cas où les prêts auraient une périodicité
infra-annuelle, les parties en capital des échéances font
l'objet d'un prêt de consolidation unique, d'un montant
égal à la somme arithmétique des remboursements en
capital normalement échus à partir du 1er
janvier 2006 arrondie à l'euro entier.
Consolidation d'échéances en capital et en
intérêts relatives à plusieurs prêts : le
montant de capital et d'intérêts de plusieurs
échéances de différents prêts, dues par une
même cave coopérative, peut faire l'objet d'un prêt
de consolidation unique, même si la date de ces
échéances n'est pas identique. Dans ce cas, la demande de
consolidation donnera lieu à une autorisation de financement
unique, autorisant la consolidation de capital et
d'intérêts pour les montants correspondant à la
somme des remboursements en capital et en intérêts
normalement échus à partir du 1er janvier 2006
arrondie à l'euro entier.
3. Répartition de l'enveloppe
L'enveloppe de 10 M€ de prêts de consolidation sera répartie au niveau régional. Cette répartition sera notifiée à chaque région concernée. Une réserve sera constituée au niveau national pour répondre aux éventuelles demandes des régions non dotées initialement.
3.1 Régions dotées
Les régions du
Languedoc-Roussillon, de l'Aquitaine, de
Rhône-Alpes, de Provence-Alpes Côte d'Azur,
des Pays de la Loire, de Midi-Pyrénées, de
Bourgogne et du Centre se verront notifier le montant
de la dotation qui leur sera attribuée.
Répartition des enveloppes
Il appartiendra à chaque DRAF de répartir l'enveloppe
allouée entre les départements de sa région,
l'instruction des dossiers étant réalisée au niveau
du département. Les DRAF, responsables de l'enveloppe
attribuée à la région, devront communiquer au bureau
du crédit et de l'assurance (DAFL/SDFA) et au CNASEA la
répartition effectuée entre les départements de leur
région par le biais d'un dialogue de gestion local. Elle
devront également informer la DR-CNASEA compétente
localement de cette répartition afin que celle-ci puisse
procéder à la délégation des enveloppes
correspondantes.
Dans les cas où, après cette date, le DRAF souhaiterait
procéder à de nouveaux ajustements dans la
répartition de l'enveloppe régionale entre
départements, il lui appartiendra d'en informer la DR-CNASEA
compétente qui procédera aux ajustements. Le bureau du
crédit et de l'assurance (DAFL/SDFA) et le CNASEA seront
également informés de ces demandes d'ajustement..
Au plus tard, le 15 octobre 2006, le DRAF fera remonter les
surplus d'enveloppe au bureau du crédit et de l'assurance
(DAFL/SDFA).
3.2 Régions non dotées
Dans les autres régions où
le nombre de caves coopératives potentiellement
concernées n'est pas très important, aucune enveloppe
régionale ne sera accordée. Les dossiers seront
traités dans le cadre d'une enveloppe non répartie,
maintenue au niveau national pour l'ensemble des régions non
dotés.
A cet effet, le montant total des demandes de chaque région
non dotée initialement, réparti par département,
sera transmis au plus tard le 15 octobre 2006, délai de
rigueur, au bureau du crédit et de l'assurance
(DAFL/SDFA), en justifiant ce montant par le nombre de caves
coopératives éligibles et le montant total des
échéances en capital susceptibles d'être
consolidées, en tenant compte du plafond de prêt de 90
000€ par cave coopérative ou union.
Au vu des demandes, une enveloppe sera attribuée à
chacune de ces régions. En particulier, dans le cas où le
total des demandes excéderait le montant de l'enveloppe
réservée au niveau national, les demandes régionales
ne pourront être servies en totalité (les montants de
prêts devront être restreints à due proportion ou
une hiérarchisation des demandes devra être mise en place
par la DDAF).
4. Procédure d'attribution des aides
4.1 Concertation locale
La procédure d'attribution des prêts de consolidation se fera dans le cadre de la commission technique départementale. L'instruction des dossiers entre établissements bancaires et DDAF se fera selon les usages locaux.
Je vous demande de mettre en œuvre cette mesure dans les meilleurs délais et de me rendre compte, au plus tard le 15 octobre 2006, des critères et des ratios financiers que vous aurez retenus pour la mise en œuvre de cette instruction.
4.2 Modalités de gestion des prêts bonifiés
4.2.1 Constitution et pré
instruction des dossiers de demande par les établissements
bancaires
Les prêts de consolidation peuvent être mis en place par
les sept établissements de crédit habilités à
distribuer des prêts bonifiés à l'agriculture
jusqu'au 31 décembre 2006, à savoir :
- BNP Paribas ;
- Crédit Agricole S.A. ;
- Crédit Industriel et Commercial (CIC) ;
- Crédit Lyonnais ;
- Crédit Mutuel ;
- Groupe Banque Populaire ;
- Société financière de la Nef.
J'appelle votre attention sur l'égalité de traitement
qu'il vous appartient d'assurer entre les clients de ces
différents établissements de crédit. A cette fin,
toute répartition par réseau bancaire de l'enveloppe qui
vous est impartie est à proscrire. Seuls les
éléments d'appréciation résultant de
l'instruction individualisée de chaque dossier doivent guider
les choix d'attribution de l'aide.
L'établissement de crédit sollicité pour mettre en
place un prêt se verra remettre par le demandeur une
attestation sur l'honneur par laquelle il atteste ne solliciter
pour le même objet aucune aide complémentaire auprès
d'un autre établissement bancaire. Cette déclaration sur
l'honneur doit être conservée dans le dossier de
l'emprunteur.
L'établissement de crédit complètera les
données fournies par le demandeur et la DDAF par ses propres
informations concernant l'endettement professionnel du demandeur
(éventuellement complétées par celles
afférentes à l'endettement professionnel auprès
d'autres établissements de crédit dans le cas de
demandeurs " multibancaires "), pour déterminer notamment les
ratios financiers établis dans le cadre de la concertation
locale.
Un état nominatif des demandes assorti, pour chacune d'elles,
des valeurs de critères généraux et locaux de
recevabilité, de l'assiette et du montant du prêt
proposé, est transmis par les établissements de
crédit à la DDAF pour instruction. La DDAF pourra
demander qu'une copie du dossier complet constitué par
l'établissement de crédit lui soit adressée afin de
pouvoir procéder à l'instruction.
4.2.2 Procédure de gestion des prêts
Pour la mise en place de ces prêts, un imprimé de demande
d'autorisation de financement (AF) est créé sous le
code catégorie de prêt 38. Cet imprimé sera mis
à disposition des établissements de crédit par le
CNASEA, qui en communiquera un exemplaire à chaque DDAF.
L'établissement de crédit adresse à la DDAF, selon
la procédure habituelle pour les prêts bonifiés
à l'agriculture, une demande d'AF. Celle-ci est
accompagnée des tableaux d'amortissement des différents
prêts pour lesquels des demandes de consolidation de
l'annuité sont constituées.
La DDAF vérifie la recevabilité de la demande (elle peut
demander à l'établissement de crédit copie du
dossier complet).
Les prêts de consolidation aux " caves coopératives
viticoles " sont référencés sous la
catégorie 38 dans la dernière version du logiciel
Agrinvest. La DDAF saisit la demande d'AF dans cette application et
s'assure de la disponibilité suffisante sur l'enveloppe. Si
l'AF peut être délivrée (demande recevable et
disponibilité sur l'enveloppe départementale), la DDAF
porte la date de délivrance sur l'AF et complète le
numéro d'ordre donné par Agrinvest. Elle délivre
alors l'AF en l'envoyant au correspondant départemental de
l'établissement de crédit et envoie simultanément un
double à la délégation régionale du CNASEA
compétente. Par ailleurs, la DDAF informe le
bénéficiaire par écrit de l'octroi de l'AF et de ses
caractéristiques.
Après avoir reçu l'AF, l'établissement de
crédit réalise, au bénéfice de l'agriculteur,
le prêt dans un délai maximal de trois mois et adresse,
selon la procédure habituelle, dans les 30 jours suivant la
réalisation du prêt, une confirmation de versement (CV)
à la délégation régionale du CNASEA. Le
formulaire habituel de CV est utilisé pour ces prêts de
consolidation. Une CV unique sert de support pour la confirmation
de versement d'un prêt bonifié de plusieurs
échéances lorsque ces échéances ont
elles-mêmes donné lieu à une AF unique.
Toute décision modificative intervenant sur les prêts
postérieurement au versement (remboursement anticipé
partiel) donne lieu à avis de modification (AM), imprimé
également disponible au CNASEA, selon les mêmes
modalités que les AF et les CV.
Les dossiers de demandes de prêts doivent comprendre :
- le formulaire de demande de prêt de consolidation (cf.
Annexe I) ;
- la demande d'autorisation de financement (AF) pour la
catégorie de prêt 38 ;
- les justificatifs permettant de vérifier le respect des
critères d'éligibilité et de vérifier les
éléments de calcul du montant maximal du prêt. A ce
titre, devront être joints :
les justificatifs relatifs au chiffre d'affaires, à
savoir au choix :
les comptes de résultats et bilans annuels des
exercices 2004 (campagne 2004-2005) ou 2005 (campagne 2005-2006)
certifiés par le commissaire aux comptes de la cave
coopérative viticole ;
les attestations certifiées par un centre de gestion
agréé ou un cabinet d'expertise comptable concernant le
chiffre d'affaires pour l'exercice de référence et pour
l'exercice touché par la crise (cf. point 1.1) ;
les tableaux d'amortissements des différents
prêts pour lesquels des demandes de consolidation de la part
en capital de l'annuité sont demandées ;
une attestation du directeur de VINIFLHOR portant sur les
engagements de porter à la distillation de crise une partie de
la production, dans le cas éventuel d'une participation à
la distillation.
L'analyse de l'éligibilité des caves coopératives
faisant une demande de prêts de consolidation par
l'intermédiaire de leur établissement de crédit sera
accompagnée de toutes pièces nécessaires à
l'appréciation de la situation réelle de la cave
coopérative viticole. Le DDAF pourra ajouter certains
éléments complémentaires à ceux prévus par
la présente circulaire (cf. Annexe I).
5. Facturation
Le taux de référence sur la base duquel sont calculées les charges de bonification dues par l'Etat aux établissements de crédit est celui utilisé pour les prêts bonifiés à l'agriculture et défini dans la convention signée entre l'Etat et chaque établissement de crédit relative à la distribution des prêts bonifiés à l'agriculture jusqu'au 31 décembre 2006. Les remboursements de bonification aux établissements de crédit sont soumis au respect des procédures définies dans la convention précitée.
6. Délais
Les autorisations de financement
devront être délivrées au plus tard le 15
septembre 2006.
Conformément aux règles habituelles en matière de
prêts bonifiés, les prêts devront être
réalisés par les établissements de crédit dans
un délai maximum de trois mois après la délivrance
de l'autorisation de financement.
7. Contrôles
Les établissements de
crédit conservent, en vue de contrôles effectués par
les instances compétentes, pendant les trois années
suivant la fin du prêt de consolidation, les pièces
suivantes du dossier de prêt :
- la déclaration sur l'honneur fournie par l'emprunteur
;
- l'autorisation de financement (AF) accordée par le
préfet ;
- le(s) tableau(x) d'amortissement du (des) prêts objet de la
consolidation ;
- le tableau d'amortissement du prêt de consolidation mis en
place ;
- la confirmation de versement (CV) et éventuellement l'avis
de modification (AM) si le prêt de consolidation a fait
l'objet d'un remboursement anticipé.
Outre les contrôles a priori réalisés au
moment de l'instruction des demandes, des contrôles a
posteriori des dossiers individuels seront effectués par
les administrations régionale, départementale ou
nationale compétentes ou par le CNASEA. Ils porteront sur
l'éligibilité des bénéficiaires et les
caractéristiques du prêt de consolidation
(échéances consolidées, les dates
d'échéances initiales des prêts...). Dans le cas des
aides versées dans des conditions non conformes, la mise en
recouvrement des montants concernés sera notifiée au
représentant légal de la cave coopérative et à
l'établissement de crédit. D'éventuelles sanctions
seront prises.
L'exécution de ces mesures exceptionnelles peut, en outre,
faire l'objet de contrôles effectués, selon les
modalités qui leur sont propres, par les corps de
contrôle de l'Etat chargés de vérifier l'affectation
des aides publiques.
A l'issue de la procédure, vous réaliserez un tableau de synthèse des dossiers traités (cf. Annexe II), indiquant le nombre et le montant des prêts demandés d'une part, et le nombre et le montant des prêts bonifiés autorisés (AF délivrées) d'autre part que vous ferez parvenir ce document à la direction des affaires financières et de la logistique et à la direction générale des politiques économique, européenne et internationale par courrier postal et électronique.
Dominique BUSSEREAU