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MINISTERE DE L'AGRICULTURE, DE L'ALIMENTATION, DE LA
PECHE,
DE LA RURALITE ET DE L'AMENAGEMENT DU TERRITOIRE
DIRECTION GÉNÉRALE DES
POLITIQUES AGRICOLE, AGROALIMENTAIRE ET DES TERRITOIRES N° NOR : AGRT1127068C |
SECRÉTARIAT
GÉNÉRAL |
CIRCULAIRE |
Date de mise en application :
immédiate |
|
Objet : Plan d'action "
fruits et légumes "
Résumé : La présente circulaire précise
les modalités de gestion du plan d'action pour le secteur des
fruits et légumes annoncé le 7 septembre 2011. Elle
renvoie à un ensemble de circulaires et décisions pour la
mise en œuvre de chacune des mesures inscrites dans ce
plan.
Mots-clés : plan d'action, fruits et légumes,
2011
Destinataires |
|
Pour
exécution : |
Pour information
: |
Face à la crise que traverse
le secteur des fruits et légumes, Le Ministre de
l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la
ruralité et de l'aménagement du territoire a annoncé
le 7 septembre dernier un plan d'action doté de 25 millions
d'euros. Ce plan dont l'objectif est à la fois de permettre
une amélioration immédiate de la trésorerie des
exploitants de ce secteur, d'aider au redressement des entreprises
les plus en difficultés et d'assurer la pérennité
des productions de ce secteur comprend un ensemble de mesures
conjoncturelles et structurelles.
Au sein du secteur des fruits et légumes, ce plan d'action est
mobilisé en priorité sur les trois productions qui ont
subi des conditions de marché particulièrement difficiles
cette année. Il s'agit des productions de tomates, concombres,
pêches-nectarines.
Il s'inscrit dans un contexte où les pouvoirs publics ont
été actifs pour soutenir la commercialisation des
produits (ventes au déballage et promotion des produits) et
pour obtenir un appui au niveau communautaire tant à court
terme (dispositif de retrait exceptionnel, revalorisation du prix
de retrait de la pêche-nectarine) qu'à moyen terme
(présentation au Conseil des Ministres du 20 septembre dernier
d'une plateforme commune avec l'Italie et l'Espagne sur
l'évolution de divers dispositifs communautaires).
Ce plan doit désormais être très rapidement
opérationnel, en particulier, pour permettre
l'amélioration immédiate de la situation financière
des exploitations concernées.
1. Mise en place d'un comité départemental
Un comité départemental
de gestion de ce plan doit être mis en en place sous
l'autorité du Préfet de département dans les
meilleurs délais.
Il sera composé du directeur départemental en charge de
l'agriculture, du directeur des services fiscaux, des
représentants des banques, de la mutualité sociale
agricole, des organisations professionnelles représentatives
ainsi que de la chambre d'agriculture. Le directeur
départemental de la Banque de France y sera associé. Le
Préfet de département peut, s'il le souhaite,
élargir la composition de ce comité de gestion afin de
s'entourer des experts qu'il juge utiles à la bonne mise en
œuvre des décisions.
Les Préfets de Région assureront la coordination des
travaux menés au sein des comités de gestion
départementaux de leur région. En particulier, ils
devront conduire les discussions relatives à la
répartition des dotations budgétaires entre les
différents départements.
Les missions des comités départementaux sont les
suivantes :
►analyse de la situation des exploitations du secteur des fruits et légumes, notamment celles spécialisées dans la production de tomate, concombre et/ou pêche-nectarine,
►identification et typologie des exploitations en difficultés,
►définition d'éventuels critères d'éligibilité et/ou de priorité complémentaires pour l'accès aux différents dispositifs d'aide afin de concentrer les moyens disponibles sur les exploitations les plus en difficulté,
►évaluation des besoins financiers sur les différentes mesures et répartition des moyens budgétaires mis à disposition du département (en particulier, formulation des souhaits de fongibilité entre les mesures FAC/MSA et Agridiff/ARP),
►réalisation du suivi et du bilan de la mise en œuvre des différentes mesures.
Le Préfet de région adressera à la DGPAAT (bureau du crédit et de l'assurance) un bilan mensuel de suivi des différentes mesures à compter du 1er décembre 2011.
2. Mesures conjoncturelles
15 millions d'euros sont dédiés aux mesures d'allégement des charges financières et à des prises en charge de cotisations sociales.
2.1. Allégement des charges financières
Une circulaire spécifique
présentera les modalités de prise en charge par
l'État des intérêts des échéances de
prêts professionnels à long et moyen terme bonifiés
et non bonifiés hors foncier (mesure de type FAC). En cas
d'aménagement de l'annuité 2011 par l'établissement
de crédit, l'aide de l'Etat restera limitée à la
partie des intérêts de l'annuité 2011 initiale,
comme prévu dans la circulaire spécifique.
Une enveloppe de 10 millions d'euros est attribuée à
cette mesure.
Les prises en charge d'intérêts accordées sont
soumises au régime d'aides "de minimis".
Si la dotation budgétaire allouée à certaines
régions pour cette mesure excède les besoins
recensés, le Préfet de Région aura la
possibilité de demander un transfert d'une partie de celle-ci
en direction de la mesure de prise en charge des cotisations
sociales. Les modalités pratiques de mise en œuvre de
cette fongibilité asymétrique seront exposées dans
la circulaire relative à la mesure
FAC.
2.2. Prise en charge de cotisations sociales
Une enveloppe de 5 millions d'euros est mobilisée par la MSA à cet effet.
2.2.1.
Bénéficiaires
La MSA mobilise sur ses fonds d'action sanitaire et sociale une
enveloppe de 5 millions d'euros pour financer des prises en charge
de cotisations sociales dues par les chefs d'exploitation ou
d'entreprise agricole confrontés à des difficultés
financières. Ces prises en charge sont accordées selon le
dispositif de droit commun prévu par le code rural et de la
pêche maritime.
Ces prises en charge sont accordées en priorité aux
producteurs de tomates, de concombres et de
pêches-nectarines sans pour autant exclure du dispositif
d'autres producteurs de fruits et légumes dans la limite de
l'enveloppe de crédits.
Ce plan d'action s'adresse aux personnes ayant une dette de
cotisations auprès de la MSA ou d'APRIA-RSA.
Les chefs d'exploitation ou d'entreprise agricole qui
bénéficient d'un échéancier de paiement ne
doivent pas être exclus du bénéfice des prises en
charge de cotisations sociales.
2.2.2. Cotisations prises en
charge
La prise en charge peut concerner tant les cotisations personnelles
et patronales des chefs d'exploitation ou d'entreprise agricole
mentionnés au point 2.2.1. et porte aussi bien sur les
cotisations sociales restant dues au 31 décembre de
l'année précédant celle au titre de laquelle la
prise en charge est demandée que sur les cotisations dues au
titre de l'année en cours, à l'exclusion des
pénalités et majorations de retard qui ne peuvent faire
l'objet d'une prise en charge.
S'agissant des cotisations personnelles, il s'agit de la part
technique et complémentaire des cotisations dues au titre de
l'assurance maladie et invalidité, assurance vieillesse,
prestations familiales, accident du travail et retraite
complémentaire obligatoire.
S'agissant des cotisations patronales, il s'agit de la part
technique et complémentaire des cotisations assurances
sociales, allocations familiales et accidents du
travail.
2.2.3. Remise des
pénalités et majorations de retard
Les majorations de retard et les pénalités
afférentes aux cotisations sociales personnelles et patronales
sont exclues de toute prise en charge.
Cependant, les conseils d'administration des caisses de
mutualité sociale agricole ou les commissions de recours
amiable sur délégation devront examiner avec la plus
grande bienveillance les demandes de remise de majorations de
retard et de pénalités relatives aux cotisations sociales
personnelles et patronales dues par les chefs d'exploitation ou
d'entreprise agricole ayant bénéficié de la
présente mesure.
2.2.4. Modalités
d'application
Les prises en charge de cotisations personnelles et patronales des
chefs d'exploitation ou d'entreprise agricole doivent être
accordées selon le dispositif prévu aux articles L. 726-3
et R. 726-1 du code rural et de la pêche maritime dont les
modalités d'application sont précisées dans la
circulaire DGFAR/SDTPS/C2007 du 2 juillet 2007 modifiée par la
circulaire SG/SAFSL/SDTPS/C2010-1510 du 1er juin
2010.
2.2.5. Procédure
2.2.5.1. Procédure
applicable aux prises en charge accordées sur les crédits
d'action sanitaire et sociale de la MSA
Les chefs
d'exploitation ou d'entreprise agricole en difficulté
adresseront individuellement une demande de prise en charge à
leur caisse de mutualité sociale agricole ou à leur
bureau départemental d'APRIA-RSA. La caisse de MSA ou
APRIA-RSA devra se faire communiquer par l'intéressé tout
document nécessaire à l'instruction du dossier.
Il appartient au responsable du bureau d'APRIA-RSA de transmettre
un avis motivé sur la demande de prise en charge au conseil
d'administration de la MSA compétente.
Le dossier de chaque intéressé sera transmis à la
section des agriculteurs en difficulté de la commission
départementale d'orientation agricole (CDOA) afin qu'elle se
prononce uniquement sur la viabilité économique de
l'exploitation ou de l'entreprise concernée, conformément
à l'article R. 726-1 du code rural et de la pêche
maritime.
Les montants des prises en charge décidés par les
conseils d'administration des caisses de MSA en fonction uniquement
du degré des difficultés financières des producteurs
concernés, sont notifiés aux bénéficiaires par
les caisses de MSA.
APRIA-RSA notifie les prises en charge de cotisations à ses
assurés pour ce qui le concerne.
2.2.5.2. Procédure
applicable aux prises en charge accordées sur les crédits
ministériels
Comme indiqué au 2.1., une partie
des crédits de la mesure FAC peut être utilisée, le
cas échéant, pour financer des prises en charge de
cotisations sociales selon le dispositif de droit commun, en
complément de celles accordées sur les crédits de la
MSA.
A cette fin, il appartient au Préfet de décider, en
liaison avec la caisse de MSA, du montant éventuel qu'il
convient de réserver aux prises en charge dans la limite de la
dotation allouée à son département.
La prise en charge accordée sur les crédits d'État
à chaque intéressé pourra s'effectuer selon les
critères retenus par le comité départemental de
gestion du plan
Après avoir recueilli l'avis du comité départemental
de gestion du plan, le Préfet fixe pour chaque dossier
individuel le montant éventuel de la prise en charge de
cotisations sociales qu'il transmet au conseil d'administration de
la caisse de MSA concernée pour validation et liquidation de
la prise en charge.
Le Préfet transmet à la Caisse de MSA concernée le
montant des enveloppes mobilisées pour les prises en charge de
cotisations laquelle caisse devra faire l'avance des crédits
au fur et à mesure des décisions prises au plan local.
Chaque caisse de MSA informe la Caisse centrale de la MSA du
montant des crédits qu'elle a avancés.
Une délégation de crédits à hauteur du montant
des prises en charge accordées sera effectuée par le
Ministère chargé de l'Agriculture à la caisse
centrale de la MSA.
2.2.6. Application du plafond
d'aides
Les prises en charge accordées sont soumises au régime
d'aides " de minimis ".
Les bénéficiaires des prises en charge de cotisations
prévues par la présente circulaire doivent, lors de la
notification de la prise en charge, être informés par la
Caisse de MSA du régime d'aides applicable.
Le respect du plafond de régime d'aides " de minimis " doit
être vérifié par la DDT ou la
DDTM.
2.2.7. Échéanciers de
paiement
Les caisses de MSA peuvent accorder aux chefs d'exploitation ou
d'entreprise agricole en difficulté des échéanciers
de paiement financés sur les crédits du Fonds de
Solidarité des Crises Agricoles pour la part des cotisations
qui ne peut pas faire l'objet d'une prise en
charge.
2.2.8. Suivi du dispositif
Les caisses de MSA devront tenir un suivi mensuel des prises en
charge accordées en terme de montants et de
bénéficiaires, que ce soit sur les crédits de la MSA
ou bien sur ceux du MAAPRAT. La Caisse centrale de MSA se chargera
de consolider les données des différentes caisses de MSA
puis les transmettra au Bureau de l'assujettissement et des
cotisations sociales à la Sous-direction du travail et de la
protection sociale du SAFSL au Secrétariat général
du Ministère chargé de
l'agriculture.
3. Les mesures structurelles d'accompagnement des exploitations rencontrant des difficultés économiques
3.1 Mesures Agridiff et Aides à la reconversion professionnelle
L'accès à cette mesure
est ouvert à toutes les productions de fruits et légumes,
avec une priorité pour les producteurs de tomates et/ou
pêches-nectarines.
Une enveloppe de 4 millions d'euros est attribuée à cette
mesure et répartie de façon indicative de la façon
suivante :
1. 2 millions d'euros sur l'enveloppe dédiée aux agriculteurs en difficulté (dispositif Agridiff),
2. 2 millions d'euros sur l'enveloppe consacrée aux aides à la reconversion professionnelle (ARP).
Le premier dispositif permet
d'alléger les charges financières des exploitations
viables dans le cadre d'un plan de redressement et le second
d'accorder, dans le cas d'exploitations dont la viabilité
n'est pas assurée, des aides à la réinsertion
professionnelle.
Ces dispositifs étant notifiés à la Commission
européenne, les aides attribuées dans ce cadre ne sont
donc pas à imputer au plafond "de minimis " (7 500
€ sur trois ans).
Les décisions d'attribution des aides aux agriculteurs en
difficulé doivent respecter les critères
d'éligibilité et modalités prévus par les
circulaires DGPAAT/SPA/SDEA/C2009-3062 du 3 juin 2009 et
DGPAAT/SPA/SDEA/C 2010-3024 du 10 mars 2010.
Les circulaires précitées seront adaptées dans le
respect de la notification à la Commission Européenne et
des conditions prévues dans les articles R-352-1 à
R-352-14 du CRPM. Les points suivants seront adaptés :
- assouplissement des critères d'accès avec :
- précisions sur la prise en compte dans les taux
d'endettement des dettes à court terme,
- possibilité pour le calcul du revenu moyen des 3
dernières années de l'exploitation, de prendre en compte
non seulement la dernière année connue (2010), mais
également la dernière campagne 2011 sur la base d'un
exercice reconstitué par le centre de gestion,
- prise en compte des revenus négatifs de l'exploitation (qui
ne seront plus ramenés à 0),
- clarification des conditions d'accès pour les agriculteurs
au forfait.
Le dispositif "agriculteurs en difficulté" s'appuie sur un
plan de redressement établi après un audit
détaillé de la situation des exploitaitons. Ce dernier
est réalisé pour les exploitations jugées viables
suite à un prédiagnostic. L'exploitant doit participer au
minimum à 25% du coût de la restructuration prévue
par le plan de redressement qui comporte également des
rééchelonnements de dette et consolidations de prêts
bancaires négociés avec les créanciers. L'Etat
intervient par le biais de prise en charge d'intérêts.
Cette aide est plafonnée à 10 000€ par unité
de travail non salariée dans la limite de 2UTH par
exploitation. Cette aide peut être augmentée de 10% par
salarié (dans la limite d'un plafond de 10) et la transparence
des GAEC est prise en compte (dans la limite de 3
exploitations).
Les aides à la réinsertion professionnelle seront
mobilisées suivant les modalités prévues par la
circulaire DGFAR/SDEA/SDTE/C2007-5030 du 29 mai 2007.
L'aide à la reconversion professionnelle (ARP) comporte une
prime de départ de 3 100 € par actif, augmentée de
50% en cas de déménagement, ainsi que la possibilité
pour le bénéficiaire de suivre une formation
professionnelle rémunérée d'une durée pouvant
aller d'une semaine à 6 mois. Cette dernière peut
être portée à 12 mois lorsque la formation suivie
conduit à une qualification qui ne peut être acquise sur
une durée plus courte et si la qualification acquise est
porteuse d'emploi. En cas de besoin, les frais de formation peuvent
être pris en charge par le dispositif ARP.
La répartition des crédits par région est fournie en
annexe 1.
Elle est construite sur la base d'une répartition égale
de la dotation de chaque région entre les mesures Agridiff et
ARP. En fonction de la réalité des besoins au sein de
chaque département, le Préfet de
Région/Département a la possibilité d'opérer
les ajustements jugés nécessaires entre les dotations
prévues pour chacun de ces deux dispositifs.
Si la dotation budgétaire régionale allouée
excède les besoins recensés au sein de la région, le
Préfet de Région aura la possibilité de demander un
transfert de tout ou partie de celle-ci en direction de la mesure
FAC. Les modalités pratiques de mise en oeuvre de cette
fongibilité asymétrique seront exposées dans la
circulaire relative à la mesure FAC.
3.2 Autres mesures structurelles
La plan de sortie de crise
prévoit des mesures d'ordre structurel qui seront mises en
œuvre par ailleurs, dans le cadre de décisions d'aides
relevant du Directeur général de FranceAgriMer :
- des aides aux investissements sont prévues pour accompagner
les efforts permettant d'améliorer la compétitivité
dans les exploitations agricoles, dans les serres (à hauteur
de 1 M€) et pour la rénovation des vergers de
pêchers (1 M€). Ces moyens seront mis en œuvre dans
le cadre de dispositif rénové pour les serres (circulaire
serre en cours de finalisation par appel à projets) et dans le
cadre d'une circulaire dédiée à la rénovation
des vergers de pêchers en cours d'élaboration.
- 2 M€ sont fléchés sur les dispositifs de
FranceAgriMer favorisant la restructuration des entreprises de
commercialisation (aides aux investissements matériels et
immatériels et à la restructuration).
En outre, des moyens importants seront consacrés (2 millions
d'euros) dans le cadre du fonds national d'assurance formation des
salariés des exploitations et entreprises agricoles (fafsea),
dans l'objectif de faciliter l'adaptation des compétences par
la formation des salariés du secteur des fruits et
légumes afin de sauvegarder leur emploi et alléger le
coût salarial des entreprises.
4. La participation des établissements bancaires au plan d'action
Les banques se sont engagées
à prendre les mesures nécessaires pour
réaménager les prêts en cours, de façon à
aider les producteurs les plus touchés à passer ce cap
difficile de l'année 2011. De plus, les banques accompagneront
sur le terrain la mise en œuvre des mesures structurelles,
notamment celles visant la restructuration des entreprises de
commercialisation.
Dans le suivi de la mise en œuvre des mesures du plan d'action
par le comité de gestion départemental, il est
demandé aux Préfets de département d'y inclure les
actions menées par les banques conformément à leurs
engagements.
Pour certaines situations particulièrement difficiles, les
services de la médiation du crédit pourront être
mobilisés afin de permettre de trouver des solutions pour le
plus grand nombre d'exploitations.
Vous voudrez bien m'informer de toutes difficultés que vous pourriez rencontrer lors de la mise en œuvre de ces instructions.
Le directeur des
affaires financières, |
Le directeur
général des politiques agricoles, agroalimentaire et des
territoires |