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MINISTERE DE
L'AGRICULTURE
DE L'ALIMENTATION, DE LA PECHE ET DES AFFAIRES RURALES
Direction générale
del'administration |
Direction générale de
l'enseignement et de la recherche |
NOTE DE
SERVICE |
Date de mise en application:
immédiate |
Le Ministre de l'agriculture, de
l'alimentation, de la pêche |
Objet: Note d'information sur les principes et
règles de gestion applicables aux emplois gagés sur
ressources propres des établissements d'enseignement agricole
et aux agents qui les occupent.
Résumé: Description des procédures à
engager pour assurer la gestion des emplois gagés et la
gestion administrative des personnels titulaires affectés sur
ces emplois.
Mots-clés: emplois gagés sur ressources
propres
Destinataires |
|
Pour
exécution: |
Pour
information: |
LE CONTEXTE |
Les décisions
politiques prises en 1995 (pour l'application aux agents
contractuels des CFA et CFPPA de la loi de titularisation du 6
juillet 1983) et en 2001 (pour l'application à l'ensemble des
agents rémunérés sur ressources propres des
établissements d'enseignement de la loi du 3 janvier 2001) ont
conduit l'administration à organiser d'une part la prise en
charge des agents concernés devenus titulaires, d'autre part
les conditions du financement par les établissements
bénéficiaires des emplois gagés, des emplois ainsi
créés.
La présente note a pour objet d'expliquer le dispositif
général mis en place à partir du 1er
janvier 2002 et de préciser les règles de gestion des
emplois et des agents qui les occupent.
L'HISTORIQUE |
Le dispositif de 1995, destiné
à prendre en compte les situations individuelles des agents en
fonction à la date de publication de la loi de titularisation
de juillet 1983 (dite loi LE PORS), ciblait une population connue a
priori, peu nombreuse (500 agents au total) ce qui permettait aux
EPL concernés d'anticiper les répercussions
financières de ces titularisations réalisées par
liste d'aptitude, et étalées dans le temps (de 1994
à 1997). En outre l'emploi créé pour permettre
l'accueil de l'agent titularisé était lié à la
personne et disparaissait avec l'agent qui l'occupait. Du fait de
la non pérennisation des emplois, l'administration a choisi un
dispositif souple, adapté aux cas individuels, pour que les
centres assurent leur participation financière.
L'émission de titres de perception annuels conduisait l'Etat
à faire des avances de trésorerie, et à ajuster au
mieux le niveau du remboursement au vu de chaque situation
individuelle après contrôle des
établissements.
Le nouveau dispositif, mis en place au 1er janvier
2002 exclut toute participation financière de l'Etat,
même sous forme d'avance. Dans le même temps le
système devenait pérenne puisque la loi de finance a
prévu la mise en place d'une enveloppe globale de 1 100
emplois, qui s'ajoute en quelque sorte aux effectifs
budgétaires existants, et dont il devient nécessaire
d'organiser la gestion.
Ainsi la rémunération de
l'ensemble des agents affectés sur les emplois créés
sur ressources propres des établissements d'enseignement
(emplois gagés) est assurée par la trésorerie
générale des Hauts de Seine, comme celle des autres
agents du ministère. L'intervention de la TG se limite au
calcul et au versement de la rémunération des agents
affectés sur emplois gagés, l'établissement
demeurant l'employeur des agents rémunérés sur ses
crédits. Le système mis en place en 2002 pour
satisfaire aux obligations nouvelles sur le plan financier (aucun
engagement même momentané de crédits de l'Etat pour
assurer le fonctionnement du dispositif) a été
entièrement calqué sur le dispositif existant à
l'éducation nationale pour les GRETA, et concerne depuis le
1er janvier 2002 l'ensemble des agents affectés sur
emplois gagés, la procédure fondée sur
l'émission de titres de perception ayant été
abandonnée.
Au 1er janvier 2004, plus de 1 100 agents sont
rémunérés sur emplois gagés (dont 200 issus du
dispositif de 1995).
SITUATION DES AGENTS TITULAIRES EXERCANT LEURS FONCTIONS DANS LE DOMAINE DE LA FORMATION CONTINUE (CFA/CFPPA) OU AFFECTÉS SUR RESSOURCES PROPRES DES ÉTABLISSEMENTS D'ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR, ET GESTION DES EMPLOIS |
Les agents titulaires
(formateurs, enseignants, IATOS ou ingénieurs) exerçant
leurs fonctions dans ces centres sont affectés en position
normale d'activité dans les
établissements.
Pour l'exercice des missions qui lui incombent et en particulier
celle de la formation continue, l'enseignement technique contribue
au fonctionnement des centres (CFA et CPFPPA) en leur allouant des
moyens en personnel. C'est ce qui explique qu'un certain nombre
d'agents (près de 400 aujourd'hui) rémunérés
sur emplois budgétaires soient affectés dans les centres,
pour y assurer le plus souvent des fonctions de direction ou
d'ingénierie de formation. Le nombre d'emplois
budgétaires affectés à cette mission est
déterminé par la DGER/ACE, et peut évoluer dans les
mêmes conditions que les dotations de formation
initiale.
Les agents titulaires rémunérés sur ressources
propres des établissements sont affectés en position
normale d'activité dans les centres. Comme ils occupaient un
emploi créé par le centre, alors qu'ils étaient
agents contractuels, il a été généralement
considéré, lorsqu'ils ont été reçus à
un concours qu'ils continuaient à occuper l'emploi sur lequel
ils avaient été recrutés en qualité de
contractuels.
L'enveloppe globale d'emplois, autorisée par la direction du
budget s'établit à 1 100 équivalent temps plein au
1er janvier 2004 s'y ajoutent les emplois en cours de
résorption occupés par les agents issus du dispositif de
1995.
Pour assurer la gestion de ces emplois dans un dispositif
pérenne, il convient de respecter les règles
rappelées ci-dessous pour organiser les mouvements
ultérieurs des agents concernés.
Les
créations et suppressions d'emplois doivent faire l'objet de
délibérations du conseil d'administration de l'EPLEFPA ou
de l'établissement d'enseignement supérieur.
Les délibérations de création de ces emplois doivent
en préciser le profil: compétences
caractérisées, discipline dominante pour les formateurs
et mot clés définissant précisément les
compétences recherchées.
Un EPLEFPA ou un établissement d'enseignement supérieur
peut demander l'ouverture d'un poste gagé sur des ressources
existantes: après expertise et avis du DRAF/SRFD pour
l'enseignement technique puis accord du MAAPAR (DGER/ACE ou
DGER/SDES), le poste est proposé au mouvement de l'ensemble
des personnels titulaires.
A l'inverse un EPLEFPA ou un établissement d'enseignement
supérieur peut demander la suppression d'un emploi gagé
occupé par un fonctionnaire. La suppression de l'emploi doit
faire l'objet d'une délibération du conseil
d'administration.
Pour l'enseignement technique la délibération du conseil
d'administration doit être envoyée sous-couvert de la
voie hiérarchique à la DGER (S/D ACE et S/D FOPDAC)
accompagnée d'une fiche de suivi. Sur cette fiche sont
indiquées, de façon nominative, toutes les personnes
exerçant dans la même discipline. Dans le cadre
prévu à cet effet, le directeur de l'EPL peut indiquer le
nom de l'agent occupant le poste gagé à supprimer et
expliciter sa position. Cette fiche est ensuite transmise au
DRAF/SRFD qui donne son avis sur la proposition émise par le
directeur de l'EPL, et complète le cas échéant
l'argumentation.
Pour l'enseignement supérieur la délibération du
conseil d'administration est transmise à la DGER/SDES et
comporte toutes les indications sur le profil de l'emploi à
supprimer, et les motifs qui ont conduit à cette
décision.
La suppression de l'emploi posant le problème de la prise en
charge financière sur le budget de l'Etat du fonctionnaire
occupant le poste gagé, elle doit s'inscrire dans un
calendrier permettant à l'agent de déposer une demande de
principe selon la procédure actuellement en vigueur et
suffisamment tôt pour participer au mouvement de l'année
n+1. En effet toute suppression d'emploi gagé doit
s'accompagner pour l'agent concerné d'une mobilité
géographique ou fonctionnelle sur un emploi gagé ou
budgétaire offert au mouvement et le cas échéant de
l'affectation sur un emploi budgétaire.
STATUT DES AGENTS RÉMUNÉRÉS SUR POSTES GAGÉS ET GESTION DES DOSSIERS INDIVIDUELS (GESTION ADMINISTRATIVE ET PAYE) |
Les agents sur emplois gagés
sont gérés en fonction des corps auxquels ils
appartiennent par les différents bureaux de gestion de la
direction générale de l'administration.
Ces agents fonctionnaires des corps du MAAPAR, sont employés
par les établissements qui les rémunèrent. Ils
bénéficient des droits des agents titulaires en
matière de congés (annuels, maladie, maternité,
parental, formation professionnelle, formation syndicale), temps
partiel, cessation progressive d'activité, mutations etc. En
matière de retraite, ils relèvent du code des pensions
civiles.
Pour ce qui concerne le droit à mutation, lorsque l'agent
rémunéré sur emploi gagé sollicite un poste de
la dotation du budget de l'Etat, l'acceptation de sa candidature
s'il correspond au profil, est subordonnée à l'existence
d'un emploi budgétaire susceptible de l'accueillir; la
procédure est identique mais inversée pour un agent
rémunéré sur emploi budgétaire qui correspond
au profil et qui sollicite un emploi gagé.
Le dispositif de gestion de compteur proposé est identique
à celui qui prévaut aujourd'hui dans le statut formation
recherche entre l'enseignement supérieur et l'AFSSA; dans les
services déconcentrés entre le MAAPAR, le MEDD, le
CEMAGREF et l'ONF etc... Ces dispositifs sont nécessaires pour
ne pas figer les dotations et permettent de gérer à la
fois la mobilité interne à un secteur, et la
mobilité externe.
Toutefois, lorsque son emploi est supprimé, l'agent sur
emploi gagé bénéficie des priorités
prévues par le statut général, et pour les
enseignants du second degré des conditions particulières
prévues dans la note de service de mise en place de ces
personnels.
La gestion financière par les EPL et les
établissements d'enseignement supérieur est assurée
ainsi qu'il suit:
Modalités de rémunération des agents sur
postes gagés (Ministère 403)
Les modalités
de rémunération des agents sur postes gagés ont fait
l'objet d'une note d'information du 13 février 2002,
actualisée le 27 février 2003 à destination des
directeurs d'établissement et des agents comptables. Les
informations indiquées ci-dessous reprennent et actualisent
les éléments de cette note.
Traitements et indemnités:
Le
traitement brut indiciaire est fonction du classement de
l'agent (indice majoré x valeur du point/12).
La valeur annuelle de l'indice 100 à compter du 1er
janvier 2004 est de : 52 75,58 euros.
Éventuellement les éléments suivants s'ajoutent au
traitement indiciaire:
Indemnité de suivi et d'orientation (ISOE): part fixe 1 138,45
euros, montant annuel au 1er janvier 2004
Cette indemnité est initialisée au moment de la prise en
charge et versée trimestriellement (mars, juin, septembre,
décembre).
Le personnel titulaire enseignant assurant un service devant des
apprentis ou des adultes ne peut bénéficier de l'ISOE
part modulable (décret 94-50 du 12 janvier 1994).
Primes perçues par les IATOS (IAT, IFTS, PPR)
Indemnité de résidence: elle est calculée sur la
base du traitement indiciaire et fixée suivant les zones
territoriales (sans abattement: 3 %, un abattement de 2,22 %: 1 %,
un abattement supérieur à 3 %: 0 %).
Supplément familial de traitement (SFT): c'est un droit au
titre des enfants à charge effective et sur demande de
l'agent, il comprend un élément fixe et un
élément proportionnel (calculé en pourcentage du
traitement indiciaire) en fonction du nombre d'enfants à
charge.
Nombre d'enfants à charge |
Elément fixe annuel |
Elément proportionnel en % |
1 enfant |
2.29€ |
- |
2 enfants |
10.67€ |
3 % |
3 enfants |
15.24€ |
8 % |
Par enfant en sus du 3ème |
4.57€ |
6 % |
Les éléments ci-dessous
sont transmis à la direction générale de
l'administration pour mise en paiement:
- heures années supplémentaires,
- indemnités diverses,
- indemnité de suivi et d'orientation des élèves
part modulable (ISOE).
Cotisations sociales:
Part salariale:
CSG et RDS : 8 % de 95 % de l'ensemble des éléments de la
rémunération
Contribution solidarité : 1 %
Pension civile: 7,85 %
La trésorerie générale des Hauts de Seine (TG)
paie les cotisations sociales ouvrières (CSG et RDS)
directement aux URSSAF locales.
Part patronale: les cotisations sont calculées
uniquement sur la totalité du traitement indiciaire
brut.
FNAL: 0,10 %
A.F: 5,40 %
Maladie: 9,70 %
Accident de Travail : taux applicable notifié aux
établissements par les URSSAF locales
Pension civile : ne donne lieu à aucun
versement
Les établissements doivent assurer le calcul et le
versement des cotisations patronales à leur centre URSSAF
(hormis la cotisation de transport). Les cotisations patronales
concernant le FNAL, les A.F et la maladie calculées sur la
base codifiée 860 du bordereau récapitulatif des
cotisations et les cotisations accident du travail calculées
sur la base codifiée 226 devront être versées aux
centres locaux d'URSSAF avant le 5 du mois qui suit.
La trésorerie générale des Hauts de Seine (TG)
calcule et verse la cotisation patronale de versement de transport
au comptable assignataire du syndicat de commune ou de la commune
concernée, le taux est déterminé par commune.
Les crédits servant à la rémunération des
agents sur postes gagés n'étant pas inscrits sur le
budget de l'Etat cette rémunération est prise en charge
par les établissements sur leurs crédits propres. En
conséquence les salaires des fonctionnaires sur postes
gagés sont soumis à la taxe sur les salaires. Ces
taxes doivent être calculées et versées directement
à l'organisme ou à l'administration chargé du
recouvrement aux dates d'échéances prescrites.
Cotisations particulières pour les frontaliers travaillant
en France et résidant à l'étranger:
Cotisation ouvrière maladie : 4,75 %
Pas de cotisation CSG et RDS
Le prélèvement est effectué à la source et
versé par la Trésorerie Générale des Hauts de
Seine (TG) au centre des impôts des non résidents.)
Les EPL et les établissements d'enseignement supérieur
doivent notifier à la trésorerie générale les
numéros de compte cotisant URSSAF réels. Il est
souhaitable que les établissements n'ayant pas d'agents sur
postes gagés fournissent également ces
renseignements.
Enfin, les EPL et les établissements d'enseignement
supérieur qui sont amenés à prendre en charge de
nouveaux agents sur postes gagés doivent impérativement
fournir à la trésorerie générale, sous couvert
de la DGER -S/D ACE ou de la DGER/SDES un dossier
constitué de la convention de prestation de services*, de
l'autorisation de prélèvement, d'un RIB, du numéro
SIRET et de l'adresse de l'URSSAF locale (cf. en annexe modèle
de convention et d'autorisation de prélèvement).
Pour permettre aux gestionnaires et comptables de suivre
l'évolution des crédits les documents suivants sont
édités par la Trésorerie
Générale:
Un bordereau récapitulatif
des cotisations; il indique la base de cotisation, le taux
et le montant total des cotisations part ouvrière versé
par la T.G.
Un détail des cotisations du mois; il indique le
montant de la part ouvrière par type de cotisations, les
cotisations mutuelle versées par la T.G. (SMAR, PREFON, MGEN
...) ainsi que la part patronale de la cotisation versement
transport.
Un avis de crédit sécurité sociale est transmis aux
services de la caisse des dépôts du département de
l'URSSAF concernée (attention, sur les imprimés est
indiquée l'URSSAF PARIS, mais pour le ministère 403, il
s'agit bien des URSSAF locales).
Un relevé récapitulatif des sommes mises en
paiement (mensuel): il représente la totalité des
dépenses brutes par poste. Le total qui figure sur ce
relevé correspond au montant prélevé.
Un état des précomptes par mois: il indique
les retenues opérées par la T.G. suite à un trop
perçu. Ce document comporte l'identifiant de l'agent, la
codification du précompte, le montant pris en charge, les
mensualités, le reste à recouvrer, le montant retenu et
la situation du recouvrement.
* Il est impératif de contacter Mme BENISTANT afin de
connaître le nom du TPG payeur des Hauts de Seine.
Un état mensuel des retenues opérées pour le
compte de l'agent comptable: il s'agit des retenues sur
salaire effectuées pour le compte de l'agent comptable par
agent. Ce document indique la date de notification, le montant
initial, la retenue du mois, le reste à recouvrer et le
créancier.
Les nouvelles oppositions devront être notifiées aux
agents comptables qui devront les transmettre directement à la
T.G. Si les notifications arrivent directement à la T.G.,
celle-ci les retournera à l'expéditeur en indiquant
l'agent comptable concerné.
Les bulletins de paie sont transmis en deux
exemplaires:
1ère série numérotée A destiné
à l'agent
2ème série numérotée F destiné
aux agents comptables pour leur compte de gestion.
Les prélèvements sur les comptes des
établissements s'effectuent dans les conditions
suivantes:
Pour les rémunérations il s'effectue la
dernière semaine du mois.
La T.G. propose, compte tenu des risques de trésorerie à
la date des prélèvements que les agents comptables
après vérification et accord sur les sommes mises en
paiement fassent eux-mêmes le virement de la somme sur le
compte de la Banque de France de la Trésorerie
Générale des Hauts de Seine en précisant
systématiquement dans le libellé paie du mois de ......
compte 471.77".
Le compte 471.77 de la T.G. doit être soldé dans les 15
jours du mois suivant et en tout état de cause dans les
meilleurs délais. En cas de problème, la T.G. effectuera
le prélèvement d'office.
En fin d'année, le compte T.G. doit être soldé
impérativement le 31 décembre.
Les avances sur traitement consenties aux agents sont
prélevées sur le compte de l'établissement au moment
du prélèvement de la paie principale ou par virement de
l'agent comptable au moment de la liquidation de la paie
principale.
Cas particuliers:
Lorsque les agents sont en position
d'activité et occupent un emploi budgétaire ils
continuent à percevoir l'intégralité de leur
traitement, ou une fraction de celui-ci. Dans ces cas particuliers,
la rémunération reste à la charge de l'employeur
(EPL ou établissement d'enseignement supérieur).
Les situations concernées sont les suivantes:
-congé maladie ordinaire
-congé longue maladie (plein ou demi-traitement)
-mi-temps thérapeutique payé 100 %
-cessation progressive d'activité (payé 50 %, plus
indemnité de 30 %)
-congé maternité, paternité et d'adoption
-congé accident de service, de travail
-congé bonifié
-congé mobilité
A l'inverse, certaines situations, qui impliquent que le lien avec
l'employeur soit rompu puisque l'agent n'est plus affecté dans
l'établissement, conduisent à ce que la
rémunération perçue par l'agent ne soit pas à
la charge de l'établissement. Il s'agit du:
-congé longue durée
-congé de fin d'activité
-congé formation
Dans ces cas, la rémunération est prise en charge sur le
budget du MAAPAR. il en est de même pour les agents en
décharge syndicale à temps complet.
CONCLUSION |
Afin d'améliorer le dispositif
des postes gagés, une cellule de concertation pilotée par
la DGER sera prochainement mise en place au niveau national. Elle
sera constituée de représentants de la DGA
(sous-direction de la gestion des personnels), de la DGER
(sous-direction ACE, sous-direction de l'enseignement
supérieur et sous-direction FOPDAC, de l'inspection de
l'enseignement agricole) et de la trésorerie
générale des Hauts de Seine.
Cette cellule de concertation travaillera selon trois axes:
-axe juridique
-axe financier
-axe communication
Cette cellule de concertation aura la charge de valider et de
diffuser toutes les informations générales concernant les
emplois gagés auprès des gestionnaires de corps (bureaux
de gestion de la DGA/GESPER) des gestionnaires d'emplois (DGER/ACE
et DGER/SDES), des DRAF, des directeurs d'EPL et des directeurs du
supérieur.
Une évaluation du dispositif sera effectuée chaque
année à l'automne.
Vous voudrez bien nous rendre compte, sous le présent timbre,
des difficultés de gestion de ce dispositif.
L'adjointe au
Directeur général de l'administration |
L'adjoint au
directeur général de l'enseignement et de la
recherche |