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MINISTERE DE L'AGRICULTURE, DE
L'ALIMENTATION, DE LA PECHE,
DE LA RURALITE ET DE L'AMENAGEMENT DU
TERRITOIRE
SECRÉTARIAT GÉNÉRAL Contrôle budgétaire et comptable
ministériel |
NOTE DE SERVICE SG/SAFSL/SDABC/N2011-1521 Date: 14 décembre 2011 |
Date de mise en application :
immédiate |
Le ministre de l'agriculture, de
l'alimentation, |
Objet : Bilan 2011 de l'État /
Organisation des travaux avec les opérateurs / Processus de
réconciliation des dettes et créances réciproques
entre l'État et ses opérateurs au 31 décembre
2011.
Bases juridiques : Loi organique relative aux lois de
finances.
Détail des annexes
Annexe 1 : Cartographie des opérateurs à enjeux ;
Annexe 2 : Tableau de réconciliation / SCSP ;
Annexe 3 : Tableau de réconciliation / Transferts indirects /
Dispositifs transparents ;
Annexe 4 : Tableau de réconciliation / Transferts indirects /
Dispositifs non transparents ;
Annexe 5 : Tableau de réconciliation / transferts directs
;
Annexe 6 : Fiche de synthèse relative aux SCSP ;
Annexe 7 : Fiche de synthèse relative aux charges
d'intervention (titre 6) - Transferts indirects - Dispositifs
transparents ;
Annexe 8 : Fiche de synthèse relative aux charges
d'intervention (titre 6) - Transferts indirects - Dispositifs non
transparents ;
Annexe 9 : Fiche de synthèse relative aux charges
d'intervention (titre 6) - Transferts directs ;
Annexe 10 : Tableau de réconciliation / Opérations
diverses (autres que SCSP et transferts).
Résumé : La note de service expose l'ensemble des
travaux d'inventaire faisant intervenir des opérateurs du
MAAPRAT, notamment l'opération de réconciliation des
dettes et des créances entre l'État et ses
opérateurs.
Mots-clés : certification des comptes de l'État,
bilan 2011, réconciliation des dettes et créances entre
l'État et ses opérateurs, opérations d'inventaire,
rattachement des charges et produits à
l'exercice.
Destinataires : |
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Pour exécution : |
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Compte tenu du volume très important des
crédits alloués et gérés (crédits de
fonctionnement et d'intervention) par les opérateurs du
ministère de l'agriculture, de l'alimentation, de la
pêche, de la ruralité et de l'aménagement du
territoire (MAAPRAT), ces entités constituent un maillon
essentiel dans la chaîne de recensement des charges et des
produits à rattacher à l'exercice. Une attention
spécifique doit donc être apportée aux
opérations impliquant un ou plusieurs opérateurs, ce
chantier revêtant une importance particulière en termes
de sincérité comptable et de certification des comptes de
l'État.
Comme le rappelle la circulaire du 21 juillet 2011 de la Direction
du budget et de la Direction générale de la fonction
publique relative au cadre budgétaire et comptable des
opérateurs de l'État et des établissements publics
nationaux pour 2012, tous les établissements publics de
l'État doivent avoir achevé leurs opérations
d'inventaire de manière à pouvoir transmettre leurs
comptes dans des délais compatibles avec le calendrier
d'élaboration des comptes de l'État. Le respect de
cette obligation permet d'améliorer la qualité des
comptes de l'État en contribuant à la fiabilité de
l'évaluation des participations de l'État,
conformément aux demandes de la Cour des comptes. Elle doit
conduire à comptabiliser, dans le respect des principes
comptables de régularité et de sincérité,
l'ensemble des obligations et des risques existant à la
clôture de l'exercice (charges, charges à payer,
provisions pour risques et charges, engagements hors bilan,
etc).
Une note de service spécifique disponible sur Nocia
présente le schéma global de l'organisation des
opérations d'inventaire en administration
centrale.
Les opérateurs interviennent dans trois
chantiers relatifs aux travaux d'élaboration du bilan de
l'État :
(1) dans la fourniture au MAAPRAT des éléments à
inscrire : charges à payer, provisions et engagements hors
bilan, pour l'essentiel.
A cet égard, les opérateurs gérant les crédits
d'intervention du MAAPRAT, doivent transmettre, selon le formalisme
habituel, les éléments à inscrire au bilan de
l'État au plus tard le 13 janvier 2012 au SAFSL
/ BBO et BRCCI et aux directions techniques
concernées.
Le respect de cette date est
impératif compte tenu des délais très courts (5
jours) laissés aux services du MAAPRAT pour procéder
à la fois aux contrôles des informations transmises et
à la saisie dans les outils ORCHIDEE et CHORUS.
Les éléments transmis par les opérateurs doivent
être certifiés par l'ordonnateur et l'agent comptable de
l'établissement.
(2) dans l'élaboration de fiches méthodologiques de
procédure sur les passifs d'intervention, établies en
collaboration avec les services ministériels (directions
techniques, SAFSL du MAAPRAT et DGFIP) et ceux du CBCM. La liste
des fiches est arrêtée avec chaque opérateur. Ces
fiches doivent être actualisées tous les ans et faire
apparaître distinctement les écritures à
comptabiliser dans les comptes de l'État, et celles devant
être comptabilisées dans les comptes de
l'opérateur.
Les fiches complétées sont certifiées par le MAAPRAT
avant le 18 janvier 2012. Elles doivent être
accompagnées des pièces justificatives (restitutions
issues de la comptabilité d'engagement, état des reports
de charges, attestation de l'agent comptable confirmant en lettres
et en chiffres les montants comptabilisés, fiches
méthodologiques par dispositif, etc) qui aideront aux
contrôles des montants déclarés. Elles seront
transmises à la Cour des comptes.
(3) dans les travaux spécifiques de réconciliation des
dettes et créances entre l'État et les
opérateurs, qui sont conduits annuellement et qui
s'inscrivent totalement dans le cadre plus général du
chantier " recensement des charges et produits à rattacher
à l'exercice ".
S'agissant plus précisément de la procédure de
réconciliation des dettes et des créances, elle doit
permettre d'assurer la cohérence des travaux d'inventaire
effectués dans les comptes de l'État et dans ceux des
établissements. Outre celles afférentes aux dépenses
d'intervention indirecte de l'État via ses opérateurs,
elle vise également celles afférentes aux transferts
directs, subventions pour charges de service public et dotations en
fonds propres. Elle se décompose en deux temps :
• centralisation des opérations à rattacher au
bilan pour l'ensemble des opérateurs du MAAPRAT ;
• corroboration des informations recensées par les
services gestionnaires du ministère avec celles détenues
par les opérateurs. Cette corroboration permet d'établir
les tableaux de réconciliation sur lesquels figure une
déclaration de conformité signée conjointement par
le ministère et l'établissement avant le 20 janvier
2012.
Conformément à la cartographie des opérateurs à
enjeux (cf annexe 1) la corroboration proprement dite porte sur les
établissements suivants : ASP, FranceAgriMer, ONF, ANSéS,
Institut français du cheval et de l'équitation (IFCE),
AGROPARISTECH ainsi que les autres opérateurs du programme
142, CEMAGREF, ODEADOM, IFN, lesquels représentent plus de 80
% du flux de dépenses du MAAPRAT à destination des
opérateurs.
S'agissant des opérateurs du 142, les états de
réconciliation devront être pré remplis par la DGER
puis communiqués avant le 13 janvier 2012 aux opérateurs
ainsi qu'au ministère (BRCCI/BBO) afin que le délai du 20
janvier précité puisse être
respecté.
Point d'attention
: |
Les opérations concernées par ces travaux sont de différentes natures. Les enjeux portent principalement sur les subventions pour charges de service public (SCSP) et les transferts indirects d'intervention.
1. Les (SCSP) subventions pour charges de service public (fonctionnement indirect)
Les subventions pour charges de service public
(SCSP) correspondent aux versements effectués par l'État
au profit des opérateurs, afin de couvrir leurs propres
charges de fonctionnement, engendrées par l'exécution de
politiques publiques relevant de la compétence directe de
l'État, mais que ce dernier leur a confiées, et dont il
conserve le contrôle.
Ces versements ont donc pour contrepartie la réalisation des
missions confiées par l'État.
Les subventions pour charges de service public sont attribuées
aux opérateurs de l'Etat par les services centraux des
ministères. Elles s'inscrivent respectivement sur le plan
budgétaire au titre 3, catégorie 2 " dépenses de
fonctionnement indirect ", et comptablement aux subdivisions
concernées du compte 63 " subventions pour charges de service
public " du plan comptable de l'Etat (PCE).
En matière de SCSP, deux catégories d'acteurs
interviennent dans la procédure : l'État d'une part et
les opérateurs d'autre part.
Le tableau à renseigner figure à l'annexe 2. L'annexe 5
expose de manière détaillée les relations entre
l'État et l'opérateur en cours d'année, ainsi que
les opérations d'inventaire afférentes aux subventions
pour charges de service public susceptibles d'être
enregistrées par l'État dans ses comptes de
clôture.
2. Les transferts indirects d'intervention
Les dépenses et charges d'intervention
sont des dépenses et charges spécifiques prévues par
l'article 5 de la loi organique. Elles s'inscrivent respectivement
sur le plan budgétaire au titre 6 " dépenses
d'intervention ", et comptablement aux subdivisions concernées
du compte 65 " charges d' "intervention " du plan comptable de
l'Etat (PCE). Elles correspondent à des versements sans
contrepartie équivalente comptabilisable et significative
d'échange.
Les transferts indirects sont effectués par des organismes
tiers, relevant le plus souvent du périmètre des
opérateurs des politiques de l'État dans leur rôle
de redistributeur.
Deux catégories de transferts indirects doivent être
identifiés :
• ceux relatifs à des dispositifs dits " transparents "
;
• ceux relatifs à des dispositifs dits " non
transparents ".
Depuis la clôture des comptes 2008 : une attention toute
particulière est portée à la notion de dispositif
d'intervention dits " transparent ", ainsi qu'aux écritures
d'inventaire à enregistrer en la matière tant dans les
comptes des opérateurs que dans ceux de l'État.
Les dispositifs dits " transparents " répondent aux
trois critères cumulatifs suivants :
Il y a intervention de trois acteurs dans la
procédure : l'État, l'opérateur et le
bénéficiaire final. Il s'agit donc de transferts
indirects.
L'établissement (opérateur) ne dispose
d'aucune autonomie dans la prise de décision :
- soit l'État prend un engagement directement auprès du
bénéficiaire final et il délègue le rôle
de payeur à l'opérateur ;
- soit l'établissement s'engage auprès du
bénéficiaire final, mais au nom de l'État et dans
les conditions préalablement définies par
l'État.
Le financement de ces
dispositifs est assuré en tout ou partie par l'État,
par le biais de transferts indirects (titre 6).
Le mode opératoire détaillé dans la présente
note répond à un double objectif :
retracer les engagements vis-à-vis des
bénéficiaires finals dans les seuls comptes de
l'État ;
éviter une double comptabilisation de ces mêmes
engagements. Il est rappelé en effet qu'en fin d'année,
la comptabilité des opérateurs est " intégrée "
dans les comptes de l'État au travers du compte 26 (via la
détermination de l'écart
d'équivalence).
S'agissant des dispositifs NON transparents,
Ce sont des dispositifs pour lesquels les 3
conditions de la transparence ne sont pas cumulativement remplies :
ils se définissent par opposition aux dispositifs
transparents.
La nécessaire classification à laquelle doit
procéder tout établissement gérant des dispositifs
d'intervention exige de préciser le critère de
l'autonomie dans la décision qui se révèle, de fait,
le critère déterminant. La règle retenue par
FranceAgriMer dès 2009 apporte toute clarté sur ce point
et peut être généralisée :
- une décision du directeur général est à
l'origine du versement de l'aide. Elle est présentée au
conseil d'administration pour validation ou approbation.
- Le dispositif est défini par une circulaire cadre dont les
éléments directeurs et la rédaction sont
réalisés par l'établissement : règles
d'éligibilité, de liquidation, délais de
réalisation, obligation de tiers, etc.
- L'instruction des demandes est réalisée par les
représentants du directeur général.
- L'engagement vis-à-vis des tiers est réalisé par
décision du directeur général : conventions
signées ou arrêté attributif de subvention.
Les opérateurs concernés disposant d'une autonomie dans
la prise de décision, les engagements qu'ils prennent
à l'égard de tiers doivent être constatés
uniquement dans leurs comptes (application des dispositions de
l'instruction 06-007-M9 du 23 janvier 2006). Aucune
écriture n'est à constater dans les comptes de
l'État s'agissant des dispositifs NON
transparents.
Une nouveauté est à
signaler pour 2011 : |
Les annexes 7, 8 et 9 exposent les relations entre l'État et l'opérateur en cours d'année, ainsi que les opérations d'inventaire afférentes aux subventions pour transferts indirects (dispositifs transparents et non transparents) et directs, susceptibles de donner lieur à enregistrement d'écritures dans les comptes de l'État à la clôture.
3. Les autres opérations
Un certain nombre de produits à recevoir
sont à constater dans les comptes de l'État à la
clôture, eu égard aux différentes positions
administratives des personnels du MAAPRAT.
✔ Les personnels du MAAPRAT mis à disposition des
opérateurs.
Conformément à l'article 41 de la loi n° 84-16 du
11 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à
la fonction publique de l'État, " La mise à
disposition est la situation du fonctionnaire qui demeure dans son
corps d'origine, est réputé occuper son emploi, continue
à percevoir la rémunération correspondante, mais qui
exerce des fonctions hors du service où il a vocation à
servir. [...] Le fonctionnaire peut être mis à
disposition auprès d'un ou de plusieurs organismes pour y
effectuer tout ou partie de son service. "
La mise à disposition peut donc intervenir au profit d'un
établissement public - opérateur de l'État. L'agent
mis à disposition est rémunéré par son
administration d'origine, qui facture les rémunérations
et charges associées aux organismes bénéficiaires de
la mise à disposition.
Les produits relatifs aux mises à disposition doivent
être rattachés à l'exercice au cours duquel ils sont
acquis à l'État, sous réserve de la fiabilité
de leur évaluation.
En effet, la rémunération des agents mis à
disposition a été liquidée et constatée dans
les charges de l'État jusqu'au mois de décembre de
l'exercice.
En conséquence, à l'inventaire et si le remboursement
n'est pas intervenu, des produits à recevoir doivent être
constatés dans les comptes de l'État. En parallèle,
des charges à payer doivent être enregistrées dans
les comptes des opérateurs.
✔ Les cotisations salariales et contributions employeurs
dues au régime des pensions civiles et militaires de retraite
/ agents détachés
Agents détachés au sein d'établissements
publics - opérateurs de l'Etat, dans des emplois conduisant
à pensions civiles.
Les établissements de l'État dotés de l'autonomie
financière versent mensuellement au comptable assignataire
dont ils relèvent, au plus tard le dernier jour du mois auquel
elles se rapportent, les cotisations salariales et les
contributions employeurs.
En cas de non respect de ce calendrier de
versement, des produits à recevoir sont à constater
dans les comptes de l'État.
Agents
détachés au sein d'établissements publics
opérateurs, dans des emplois NE conduisant PAS à pensions
civiles.
Un changement de procédure est intervenu au 1er
janvier 2008.
Le rôle de l'employeur d'origine reste essentiel dans la mise
en œuvre des nouvelles dispositions, puisque c'est lui qui
dispose des éléments relatifs à l'assiette des
cotisations et contributions de l'agent détaché.
Les cotisations salariales sont précomptées mensuellement
sur la rémunération payée par l'organisme d'accueil,
qui effectue le versement de ces cotisations au plus tard le
dernier jour du mois auquel elles se rapportent.
De la même manière, les contributions employeurs sont
versées au plus tard le dernier jour du mois auquel elles se
rapportent.
Les virements sont opérés auprès du comptable
assignataire unique désigné en la matière : le SCBCM
Finances.
En cas de non respect de ce calendrier de
versement, des produits à recevoir sont à constater
dans les comptes de l'État.
L'annexe 10 recense les relations intervenant entre l'État et
l'opérateur en cours d'année, ainsi que les
opérations d'inventaire autres que les SCSP et les transferts
susceptibles d'être enregistrées dans les comptes de
l'État à la clôture.
Point d'attention
: |
4. Le calendrier
Le déroulement de ces opérations s'effectue de la manière suivante :
Les opérateurs gérant des crédits
d'intervention du MAAPRAT, doivent transmettre, selon le formalisme
habituel, les éléments à inscrire au bilan 2011 de
l'État au plus tard le 13 janvier 2012
au SAFSL / BBO et BRCCI et aux
directions techniques concernées.
Pour toutes les relations financières entre
l'État et l'opérateur (subventions pour charges de
service public et transferts indirects et directs d'intervention
sur les dispositifs transparents et non transparents), les
opérateurs doivent compléter les tableaux de
réconciliation figurant en annexes 2, 3, 4, 5 et 10
et les renvoyer complétées et signées de
l'ordonnateur et du comptable au plus tard le 18 janvier
2012 au MAAPRAT :
✔ au SAFSL / Bureau du budget et des opérateurs (BBO)
pour ce qui concerne les subventions pour charges de service public
;
✔ à la direction technique concernée pour les
transferts indirects et directs d'intervention sur les dispositifs
transparents et non transparents. S'agissant des opérateurs du
142, les états de réconciliation devront être
pré remplis par la DGER puis communiqués avant le 13
janvier 2012 aux opérateurs ainsi qu'au ministère
(BRCCI/BBO) afin que le délai du 20 janvier précité
puisse être respecté.
Les fiches méthodologiques de procédure doivent
être complétées et certifiées par le MAAPRAT
avant le 18 janvier 2012.
Les services du MAAPRAT (SAFSL / Bureau du budget et des
opérateurs ou directions techniques concernées) doivent
compléter et signer leur partie des tableaux de
réconciliation au plus-tard le 20 janvier
2012.
Une fois le dispositif de réconciliation achevé, le
responsable de rattachement (BRCCI au SAFSL) centralise l'ensemble
des tableaux d'ajustement complétés et signés par
les deux parties accompagnés des pièces justificatives
afin de constituer le dossier justificatif.
Ce dossier est adressé au CBCM pour contrôle, visa,
consolidation, transmission à la DGFiP pour le certificateur
et conservation d'un exemplaire au dossier de clôture. Le CBCM
en retourne également un exemplaire au BRCCI qui l'archive et
le tient à disposition des personnes habilitées à le
consulter.
Enfin, une copie de chaque tableau signé de l'ensemble des
parties est adressée par le BRCCI aux opérateurs et aux
directions techniques
concernées.
Point d'attention
: |
Les états d'ajustement intègrent une
colonne " différence ". Cette
colonne est destinée à retracer les éventuelles
discordances entre les opérations enregistrées en
comptabilité générale de l'État via les
applications ORCHIDEE et CHORUS, et les montants inscrits dans la
comptabilité des opérateurs.
Dans l'hypothèse d'un écart non nul entre ces deux
sources de données, il y a lieu de compléter l'état
d'ajustement concerné en apportant tout élément
d'information nécessaire et utile à la compréhension
des différences décelées, et notamment leur origine
et les raisons qui s'opposent à la parfaite corroboration des
montants recensés.
Les annexes 6 à 9, qui sont établies par nature de
dépenses entre le MAAPRAT et les opérateurs, sont
destinées à vous aider dans le remplissage des annexes 2
à 5.
Le service des affaires financières, sociales et logistiques
(SAFSL) ainsi que les services du comptable ministériel (DCM)
se tiennent à votre disposition pour évoquer les
difficultés qui pourraient survenir dans la mise en œuvre
de ces instructions.
Le Directeur des affaires
financières, |
Le Contrôleur budgétaire |
Signé : Christian LIGEARD |
Signé : Hervé CHAZEAU |